critique de l'article

 

Les points forts développés dans cet article :

  • Les TIC peuvent améliorer la qualité de l’éducation en Afrique si les éducateurs ou les acteurs scolaires l’utilisent à des fins judicieuses et dans le but de favoriser l’apprentissage et l’enseignement. 
  • C’est possible d’utiliser les TIC pour enseigner non seulement l’informatique mais les disciplines scolaires si les acteurs scolaires s’y fixent cela comme leur objectif premier.
  • L’enseignement des TIC est important  pour les élèves en Afrique et les écoles pionnières-TIC sont plus susceptibles de participer à l’amélioration de la qualité de l’éducation en Afrique que les écoles où les TIC ne sont pas tout à fait présentes.

Les points faibles

  • Cette étude est basée uniquement sur certains pays en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale alors qu’elle traite du rôle potentiel des TIC dans l’amélioration de la qualité de l’éducation en Afrique, en tant que continent.
  • Si on tient compte du fait que l’Afrique est un continent constituée d’environ 54 pays, de 900 millions d’habitants, d’au moins 3000 langues et de quelque 18 000 000 enseignants à former d’ici à 2015, c’est un peu difficile de vite conclure que l’utilisation des TIC peut améliorer la qualité de l’éducation en Afrique.
  • Il y a encore des pays comme le Burkina Faso où il y a un taux remarquable d’analphabétisme. Dans ce pays,  l’intégration des TIC en éducation est considérée comme une utopie.
  • Dans d’autres pays comme l’Éthiopie, il y a encore la sécheresse et les inondations sur l’éducation parce que les enfants continuent à  abandonner les études. Les enseignants n’ont aucune formation  de base sur l’utilisation des TIC et il y a un manque considérable de l’équipement technologique dans les écoles.

 

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Est-ce possible donc de conclure que l’utilisation des TIC peut réellement améliorer la qualité de l’éducation en Afrique ?